Ienzo

Salut Ienzo !

De ce que j'ai lu, y'a aucuns soucis ; j'ai hâte de lire ton histoire

Sauf...

Les armes. Là, désolé, ça va pas passer. Un "truc" pareil est impossible à manier : vu l'épaisseur de la lame, et sachant que c'est du bronze (plus lourd et moins résistant que l'acier), la lame doit vite péter, et c'est impossible de tenir ce truc, même à deux mains (c'est vite vu, au mieux tu arrivera à le trainer par terre). À une main, j'en parle même pas ; c'est pas possible de la soulever, ton arme.

C'est pas tant la longueur, le soucis (on a vu des bretteurs suisses ou allemand utiliser -rudimentairement- des espadons, dont la lame pouvait aller jusqu'à 1,8-2m), mais c'est l'épaisseur, et le matériau.
Vois que le dessin de l'arme provient de deviantart ; il s'agit d'une œuvre d'art, donc pas forcément réaliste (ce qui est ici le cas)


C'est tout ce que j'avais à dire ; je re-posterais quand j'aurais lu ton histoire

D'ici là, bienvenue !

Bienvenue Ienzo !

(ton pseudo me fait penser au personnage principale de Assassin's Creed 2)

Rien qu'on voyant ton arme, je me suis dit *Cael va lui faire la même remarque qu'il m'a faite hier soir*. Et ça n'a pas manqué ! Mais je ne reviendrai pas la dessus, Cael a déjà tout dit.

Pour ce qui en est du reste de la présa, j'aime beaucoup, j'attends de voir l'histoire^^

Bienvenue et bon jeu parmis nous Ienzo.
Un bon démarrage en tout cas

Merci à tous ^^

Je devrais faire l'histoire dans la journée

En revanche, j'ai édité l'arme ^^

Edit : Je met l'histoire ici, plus asse de place dans l'autre post ^^"

- Histoire : Vous savez, Ienzo est une des rares personnes qui arrivent à combiner le don de s’attirer les pires situations sans qu’il n’ait rien demander auparavant et la pire malchance qui puisse exister . Il doit même être le seul . Enfin bref, l’enfance de Ienzo et de son frère jumeau, Seed n’est pas vraiment extraordinaire . Orphelins de naissance, ils furent envoyés dans un orphelinat miteux, au milieux du royaume de Numendil . Vous savez, c’était ce genre d’endroit où atterrissent les mômes de puissant déchus et des pauvres aspirants à la puissance . C’était un petit bâtiment, dans une petite ville proche de la capitale d'une des villes de l'ancien continent . Enfin, un bâtiment, le terme prison serait plus exact pour Ienzo . Enfant agité, perturbateur, intelligent et pourtant flemmard à l’école, Ienzo était souvent punis et isolé dans la cave de l’orphelinat, là où on envoyait les fortes têtes . Il s’enfuit vers ses sept ans, avec son frère, dés que ses jambes furent assez fortes pour lui permettre de s’enfuir le plus loin possible . C’est ainsi qu’on les retrouvât tout les deux quelques temps plus tard, à bout de souffle, gisant inconscient dans une des rues de la capitale, à bout de force .

Ils furent recueillis par un vieil homme un peu gâteux, nommé Reddas . Au départ, les deux frères se méfièrent de lui et fuguèrent une nouvelle fois, et furent encore une fois recueillis par le vieil homme quelques jours plus tard, après avoir une nouvelle fois perdus connaissance à cause de la faim . Cette fois-ci, les jeunes garçons écoutèrent la raison qui l’avait poussé à lui sauver la vie . D’après Reddas, Ienzo ressemblait étrangement à son fils, qui était décédé sous ses yeux durant un combat, quelques années auparavant . Les deux garçons, n’ayant nulle part d’autre où aller, décidèrent donc d’accepter l’hospitalité du vieillard et de rester à ses cotés . Après plusieurs jours passé à ses cotés, Seed et Ienzo apprirent que leurs bienfaiteur était un célèbre maitre d’arme au service de la patrie, aujourd'hui à la retraite, mais qui avait ouvert un restaurant après en avoir eu finit après la vit de soldat .

Un an plus tard, Reddas décida de retirer les deux enfants de l’école où il les avait inscris . Malheureusement pour lui, les sales gamins n'avait aucun talent (ou plutôt vouait un désintérêt total) pour l‘école et décidât donc de le faire directement travailler dans son restaurant . La vie des deux frères allait prendre un tournant qui allait le suivre jusqu’à la fin de leurs vies . La vitesse dont les deux garçons faisaient preuve en cuisine pour la préparation des plats et à la dextérité dont ils faisait preuve quand ils animaient le restaurant, Ienzo au violon et Seed au piano (dont "on" les avait poussé à apprendre à en jouer) ne tarda pas à attirer l’attention de l’ancien maitre d’arme, qui décida de leur apprendre la maitrise des armes . Au fil des entrainements, Seed se trouvât un véritable don pour les combats aussi bien à main nues qu’avec tout types d’armes . Ienzo, lui, n’était doué en rien . Ce fut en dernier que son pauvre tuteur tenta de lui apprendre les rudiments du combat au sabre, désespérée d'avoir un «petit-fils» aussi feignant que démotivé . Bien qu'il ne fut pas encore doué d'une force considérable, la théorie que Reddas avait élaboré lorsqu'il voyait le garçon cuisiner se confirma, dés la toute première leçon sur le combat, il fit preuve d’excellents reflex et d’une rare dextérité dans ses mouvements, du moins pour quelqu'un de son âge . Le vieillard avait enfin trouvée quelque chose en quoi le sale gamin était doué ...

Ce n’est que bien des années plus tard que cette histoire se poursuit . Ienzo et Seed, âgés à présent de seize ans, étaient rentrés dans l’armée, après la mort de Reddas . Ayant acquis une grande force et un grand talent dans le maniement des armes grâce aux entrainement qu’ils avaient subis par le défunt vieillard, ils n'eurent de cesse que de monter en grade durant leurs années passées les armes à la main . Ienzo finit par atteindre le grade de Sous-officier, et Seed celui d'officier, suite à leurs victoire face à un dangereux criminel et avoir stoppé toute sa bande . Mais les ennuis n’allaient faire que commencer pour le jeune homme … Bénéficiant d’un statut de "héros" auprès du peuple, mais surtout car le gouvernement de l'époque battait "légèrement" de l'aile et qu'il fallait absolument un bouc émissaire, certains dirigeants de l’état et de l’armée ne tardèrent pas à comprendre l’influence que Ienzo pouvait avoir à la fois sur les autres soldats et sur le peuple, et commencèrent à imaginer un plan pour rendre le plus infernale possible la vie d'un simple Sous-officier ...

Ce fut un petit groupe d’indépendantiste qui passât à l’action en premier . Il réussirent le tour de force d'assassiner un membre important du gouvernement de l‘époque . Ils mirent tout ça sur le dos de l‘infortuné Sous-officier, l’accusant d’avoir fomenté un coup d’état . Quelques jours plus tard, il fut arrêté par son propre frère après avoir essayé de fuir, puis il fut jugé pour un crime qu’il n’avait pas commis, et, après quelques manipulations et pots des vins, il fut finalement condamné à mort en à peine une heure …

Le jour même, l’annonce de sa mort se rependit comme une trainée de poudre aux oreilles du peuple, qui crachat sur la mémoire de leur ancien héros, qu’il traitait de tous les noms à présent . Ce fut aussi en ce jour qu’un prisonnier aux yeux jaunes fut mit au secret dans une cage suspendus au milieux du vide, dans une prison souterraine installée dans les ruines d’une cité antique non loin de la capitale . Sans doute le gouvernement ne voulait-il pas perdre les trésors que le jeune soldat avait pris soin de dérobé et de cacher peu de temps avant son arrestation . En tout cas, il resta dans ce sinistre endroit deux longues années, amoindris par la faim, apprenant les nouvelles de l’extérieur par les indiscrétions des gardes, blessé par les tortures qu’on lui infligeaient pendant les interrogatoires . Deux longues années .

Jusqu’au jour où, après que Ienzo ait reçu sa maigre ration de nourriture, il se passa quelque chose d’anormal, une sorte de disfonctionnement au niveau de la suspension de la cage, qui la fit tomber dans un gouffre de plusieurs mètres de haut . Ienzo s'en tira avec quelques os cassés et plusieurs bleus de cette chute, à demi-protégé par les barreaux qui le détenaient, et qui s’étaient brisés à l’atterrissage . Perdu dans un dédale de couloir, le prisonnier erra de longues heures dans les sous-sols de la prison, qui semblait avoir servit de vielle mine aujourd’hui abandonnées, et finit par échanger ses habits de prisonniers avec les habits d’un guerrier, enfin, du cadavre d‘un guerrier tout du moins . Il en sortit finalement par un fleuve souterrain, qui faisaient apparemment office d’égouts, et fut portés au gré du courant vers sa liberté …

Mais sa triste histoire ne finit pas ici . Son corps fut retrouvé à la dérive quelques jours plus tard par une bande de pirate dirigé par le capitaine pirate Citeo Gryf, célèbre dans les mers pour les nombreux méfaits qu’il y avait commis . Sous l’influence de sa fille Amalia, le pirate donnât l’ordre à son équipage de s‘occuper de Ienzo . Ils le soignèrent, l’hébergèrent et le nourrirent tout le temps de sa convalescents, puis, une fois guérit, il décida de payer sa dette envers le pirate en rentrant dans son équipage en tant que musicien et cuisinier . Il s’intégra facilement à l’équipage et resta de nombreuses années avec eux …

Il y a peu de temps, lors des grandes d’une grande bataille en mer, dans les Mers Septentrionales . Les différent états concernés lancèrent une offensive coordonnée pour anéantir toute menace pirates dans leurs eaux . La Marine réussit à coincer le gros de leur cible au large d‘une petite île, où s’était regroupées les plus grande flottes pirates, commandés par des flibustier illustre, tous sous les ordres de la jeune Amalia Gryf, fille de Citeo Gryf . A bord d’un des puissant galions battant le fier pavillon noir, se trouvait un jeune pirate de 21 ans, apaisé par la nouvelle qu'un certain officier de Numendil avait quitté l'armée et avait ouvert une forge ...

Mais reprenons . Comme je l’ait dis plus tôt, ce pirate se trouvait à bord du navire de la jeune commandante pirate . Tous deux se tenait côte à côte, sur le pont de «l’Horizon», tous deux face à leurs destins . Une paix hypocrite régnait sur le champs de bataille, entre les deux flottes ennemies, attendant chacune d’elle le déclenchement des hostilités . Un homme de la flotte rompu le lourd silence en hurlant : «Longue vie à la piraterie !» . D’autres hommes s’écrièrent ça, puis tout un navire, jusqu’à ce que toute la flotte au pavillon noir scandent cette phrase, bientôt suivie du premier coup de bombarde …
La bataille durât de longues heures . Les tirs de feu déchirait la nuit, les boulet pleuvaient sur les navires se livrant une chute acharnée … Le navire amiral pirate fut à son tour touché, comme ceux déjà partit saluer les dieux des océans . Pendant qu’il prenait l’eau, un boulet vint couper net un de ses mat, qui s’écrasât à contre le pont, broyant au sol le jeune pirate aux yeux jaunes, qui s’était élancé vers sa capitaine, et l’avait poussé pour éviter qu’elle subisse le même sort que lui . Elle tentât de le libérer, en vain, et ce fut avec les larmes aux yeux et sous les ordres du pirate qu’elle dut s’enfuir avec deux des ses hommes à bord d’une chaloupe . Le bateau finit par être submergé, plongeant vers les noirs abysses des profondeur, emmenant sa proie avec lui …

Mais le destin avait décidé de jouer . Inconscient, Ienzo fut repêché et sauver in extrémis de la noyade . Lorsqu’enfin il rouvrit les yeux, il se trouvait sur une table de torture . Pas celle qu’on pouvait trouver à Numendil, mais une de celle qu’on trouvait dans une prison sous marine du gouvernement où il fut enfermer, sous l’accusation d’avoir été successivement le second Citeo Gryf, puis d’Amalia . De retour dans une prison, il fut torturé de longues années, pour qu’il avoue à la justice où s’était réfugiée la fille de Reddas, mais il resta muet comme une tombe durant ces quatre longues années . La tombe, c’est ça qui l’attendait . Jugé «inutile aux yeux de la justice», il fut condamnés à être exécuté devant le peuple de son pays natal, après avoir subis un dernier interrogatoire . Le voyage ne dura pas longtemps, car un petite troupe de pirate envoyé par son ancienne capitaine pour le ramener à ses cotés attaqua la flotte qui était censé amener Ienzo à l’abattoir . Il dut décliner l’invitation et c’est ainsi que disparut de la circulation l’ancien second d’un des plus célèbre pirate …

Jouissant d’une nouvelle liberté, il fit un passage éclair chez son frère, puis décidât de devenir honnête . Mais il y a de ça quelques mois, jugeant que l'honnêteté ne payais pas assez, il à décidé de reprendre le titre de pirate . Il retournât chez son frère, récupérer la commence qu'il lui avait fait, à savoir une grande croix de métal ... Une petite prime pèse sur sa tête, dû à de nombreux petits vols et délits de fuite qu'il à commis . Le meurtre qu'il n'a pas commis n'y figure pas, pour la simple et bonne raison que les dirigeants de son ancien pays ont préféré gardés secrète cette histoire, de façon à ce que leurs complot ne soit jamais découvert …

Bon allez hop, validé !

En passant, superbe histoire, j'espère que tes postes seront à la hauteur de ton histoire


Bon jeu^^



(PS: oublie pas de remplir ta feuille de personnage.)

HOP HOP HOP !!!

Attendez là !

Y'a un soucis avec l'histoire ! C'est pas rapport aux avancées technologiques :
-les canons, y'a pas moyen. La poudre noire n'en est qu'a des balbutiements (on arrive limite à faire une vieille bombarde terrestre minable, sans réelles performances, et avec un gros risque d'explosion). Il n'y a donc pas de canons sur les navires

-les navires : on est dans une époque moyenâgeuse, et il y a encore très peu de progrès faits dans la navigation ; c'est plus proche des navires de l'Antiquité que de la Renaissance
(au programme, Galères, Kogge, Drakkars, Knarr, et des débuts de Nef)
Autant dire qu'il s'agit principalement de navires non pontés
(pirates à la Astérix et Obélix plutôt qu'à la pirate des caraïbes)

-la piraterie n'est pas à son âge d'or, comme elle le sera dans les Caraïbes à la Renaissance : le commerce fluvial est très peu développé, et de ce fait les pirates ont très peu à se mettre sous la dent. Il n'y a pas "d'assemblée des pirates", ni de "roi des pirates" comme on peut en voir dans certains films de fiction.

Voila, c'est tout !

T'es quand même validé Ienzo.

(Cael arrête de chipoter pour un rien, ce n'est qu'une histoire... de toute façon elle n'influence en rien nos Rp.)

En tant que membre je n'ai rien à dire, mais l'existence d'arme à feu (canon ou autre) marque la fin du monde médiéval or ce contexte est et doit rester médiéval.

Je pense donc qu'il est primordiale de "chipoter" comme tu dis sur ce détail là.

Bon vous m'énervez, faites comme vous voulez.

Demandez donc à notre cher Ienzo de refaire son histoire, il appréciera sûrement

J'ai pas lu l'histoire, mais j'ai l'impression que Ienzo s'inspire de l'univers de One Piece, ai-je tord ?

Si c'est le cas, c'est normal qu'il y est certaines incohérences, mais quelques légères modifications devraient faire l'affaire, je suppose.

Aurora a écrit:

(Cael arrête de chipoter pour un rien, ce n'est qu'une histoire... de toute façon elle n'influence en rien nos Rp.)

Comme l'a dit Wil, les armes à feu induisent la fin du moyen-âge.
De plus, il ne s'agit pas que de ça : là on a un "calquage" du contexte de la piraterie du XVII (type Pirate des Caraïbes) sur le contexte d'Helliawe, qui induit une situation moyenâgeuse. C'est en contradiction avec le contexte, voila tout.

On a peut-être l'impression que je cherche juste à brimer ces messieurs, ces nouveaux inscrits, en leur imposant des "normes" d'époque, mais voyez que les idées pour personnages sont illimitées : je demande simplement de rester dans une époque (et encore, le moyen-age, c'est vaste).
Nous ne sommes limités que par notre imagination et notre cohérence. Alors qu'on viennent plus me dire que j'empêche les gens de faire leurs rôles, etc.

Aurora a écrit:

Demandez donc à notre cher Ienzo de refaire son histoire, il appréciera sûrement

Puisque tu me force la main : Ienzo, il va falloir que tu refasse ton histoire, ou du moins le passage qui touche à la piraterie. Désolé, c'est sûrement ennuyeux, mais c'est comme ça.

Désolé Ienzo, j'ai fait ce que j'ai pu...

Cael, je me plie à ton jugement.