Une nouvelle rencontre [Libre]

Ken venait de rentrer d'une mission, il avait passé quelques jours à la faire car il avait envie de faire une pause quelques jours aussi, c'était une mission qui était assez exigent. Sa mission était de protéger un convoi à traverser le désert sans fin des plaines de la mort. Étant donné qu’il y été née dans cette région de sable dont le jour la chaleur était insupportable et que les nuits y été glaciale, il avait été désigné pour mener cette mission à bien. Certain temps, il y avait des pirates du désert, qui avait comme but principale de dépouiller les convois de leur marchandise. Évidemment, Ken accompagné de d’autres soldats de Firiel arrivèrent à repousser leur assaillant.

Rentrant de mission, Ken venait d’arriver à Kirflayel, la capitale de Firiel. Il faisait un temps splendide à l’extérieur. Il va sans dire que le soleil était très haut dans le ciel et que ce n’était pas la chaleur qui manquait dans ce royaume. Mais pour Ken, la température lui était agréable, il faisait bien moins chaud à Kirflayel qu’au désert dont il avait passé sa jeunesse.

Des palefreniers du palais vinrent accueillir les soldats qui étaient parti en mission avec Ken et leur proposa de reconduire leur à l’écurie. Épuisés depuis cette mission, ils avaient tous accepté leur aide afin qu’ils puissent se rendre à leur quartier pour prendre un repos bien mérité. Seul Ken avait refusé l’aide. Le jeune palefrenier qui lui avait proposé son aide était un jeune homme qui avait environ 14 ans.

- Sire, voulez-vous que je m’occupe de votre cheval?

- Non merci, je peux le faire moi-même.

- Votre mission n’a pas été trop difficile?

- C’était un peu relax, il n’y a pas eu beaucoup de raid.

- Je vais y allé, profiter bien de votre séjour de repos, sire.

Ken n’avait pas eu le temps de le remercier, le jeune homme était déjà parti. Il le regarda parti jusqu’à ce qu’il le perde de vu.

* Ces jeunes… ils grandissent vite.

Ken tenait son cheval par les rênes sa bride et marcha en direction de l’écurie. Il aurait pu laisser son cheval à un des palefreniers, comme ses compagnons d’armes l’ont fait, mais il préférait s’occuper de sa monture lui-même.

Arrivé à destination, il retira la selle de son cheval et le rangea à sa place. Il commença ensuite à brosser son cheval.

La jeune servante venait d'obtenir son congé du mois demandé au roi la veille et ayant rien à faire, elle décida de vagabonder dans le château à la recherche de quelque chose à faire ou quelqu'un à qui parler. Sa petite balade l'a mena à faire le tour du château et de tous les pièces ou elle avait le droit d'accès. Elle décida ensuite d'aller voir sa mère qui devait travailler dans les cuisines, le seul endroit ou Saphora n'était pas allé.

Arrivé dans la grande pièce ou plusieurs femmes faisaient à manger, elle chercha des yeux sa mère. Elle était dans le fond de la cuisine, là ou on lavait la vaisselle du dernier repas.

- Maman ! Je suis en congé aujourd'hui ! Alors j'en ai profité pour venir te voir !

Cria-t-elle à travers la pièce. Elle se rapprocha d'elle et lui donna un bisou sur la joue avant de lui dire.

- Est-ce que tu peux avoir congé aujourd'hui ? J'aimerais bien être avec toi un peu.

- Malheureusement, j'ai pris mon congé la semaine dernière, avoir sut, j'aurais dut attendre. On se reprendra le mois prochain ma chérie. Répondit-elle.

- Bien sure, sauf que j'ai rien à faire aujourd'hui, tu aurais pas une idée ?

- Tu pourrais aller faire un tour dans les écuries, toi qui aime tant les chevaux.

- Ah ! Bonne idée ! Je t'aime maman !

Puis, elle quitta la pièce après lui avoir donner un bisou sur la joue. Elle se dirigea vers les écuries d'un pas rapide s'arrêtant pour saluer les gens qu'elle connaissait et pour faire la révérence aux grands hommes d'affaire du royaume.

Heureusement pour elle, lorsqu'elle arriva dans l'écurie, il n'y avait pas beaucoup de gens. Elle aimait bien la compagnie des gens mais dans les écuries, il y avait toujours les palefreniers qui couraient partout pour nourrir ou brosser des chevaux. Elle commença à marcher dans l'allée des chevaux des invités, caressant les chevaux qui la reniflaient. Puis rendu dans l'allée ou il y avait les chevaux royales, plusieurs palefreniers vaguaient à des occupations plutôt inutile. Saphora passa donc cette allée rapidement et se trouva là ou les chevaux militaires se trouvaient. Ses grands chevaux qu'elle aimait tant, musclé et fort mais doux et gentil. Elle caressa chacun d'eux sur le nez, enlevant quelques fois des brins de pailles de quelques crinières. Arrivé près des derniers chevaux, elle remarqua qu'un soldat brossait son cheval. Craignant de l'avoir dérangé, elle s'inclina et dit.

- Pardonnez moi, sire, je ne voulais pas vous déranger dans votre occupation.

Elle se releva et détailla l'homme, elle ne l'avais jamais vu. Mais au nombre de soldats qui foulaient le sol du royaume, elle ne s'en étonna pas. Étant habituée à obéir aux ordres, elle attendit qu'il parle, ayant oubliée qu'elle était en congé ce jour là.

Ken était en train de brosser son destrier. Il se remémorait les passages de sa dernière mission au désert avec ses compagnons d’armes. Peu importe le lieu, il se remémorait toujours ce qu’il avait vaincu durant ses dernières mission, afin de s’assurer pour lui-même que sa mission avait été remplis correctement. C’était une sorte de réflexe pour lui. S’il repéra par exemple une faille dans leur mission, il n’était peut-être pas trop tard pour la corriger. Mais pour cette mission, tout semblerait être en ordre.

Il faisait toujours un temps magnifique à l’extérieur. On pouvait y voir la lumière entrer dans les pièces de l’écurie. Faisant parti des forces militaire de ce pays, il avait amené son cheval dans l’une des nombreuses stalles réservées pour les destriers de guerres. Cette écurie était un paradis pour ces chevaux. Il ne manquait de rien, il avait des palefreniers à leur disposition, un abri chaud contre les mauvaises températures, et encore d’autre.

Ken avait bientôt fini de brosser son cheval. Après un long moment, il fut interrompu par une jeune fille. Ken présuma qu’elle était l’une des nombreuses domestiques du palais. Cette servante en question lui présenta ses excuses pour l’avoir déranger et elle s’inclina même devant lui.

Sur le visage du jeune guerrier, on pouvait y distinguer de la surprise. C’était bien la première fois qu’une situation comme celle-ci se présenta devant lui. Évidemment puisque la majorité de son temps, il était en mission militaire pour son pays. Il était rare de voir ce soldat de Firiel dans la capitale. La plupart du temps, il restait une semaine à Kirflayel, même deux. Sinon, il était hors de la cité avec ses compagnons.

De sa main libre, il fit signe à la jeune servante qu’elle pouvait se relever, bien qu’évidemment pour lui, cette jeune femme ne l’avait nullement déranger. Son autre main, continuait à brosser le cheval tranquillement.

- Vous ne inquiétez pas, vous ne m’avez pas déranger. En faite, c’est ma faute, ça devait être un palefrenier qui s’occupe de ma monture.

Le jeune homme garda ensuite le silence, continuant sa tâche et laissant le temps à la jeune domestique de se rassurer.

La jeune servante s’était relevée à son signe de main mais gardais tout de même la tête baissée pour ne pas manquer de respect à l’homme. Elle fixait la porte du box regardant quelques fois le cheval et jetant quelques coups d’œil en direction de l’homme qui brossait toujours sont cheval. Elle sursauta lorsqu’il commença à lui parler puisque son regard était fixé sur le cheval et qu’elle ne s’attendait pas à ce qu’il prenne ce ton de voix calme et rassurant.

- Vous ne inquiétez pas, vous ne m’avez pas déranger. En faite, c’est ma faute, ça devait être un palefrenier qui s’occupe de ma monture.

Sa surprise passée, Saphora observa l’homme qui gardait le silence. Il était plutôt beau avec ses longs cheveux noirs et son magnifique regard rouge vif. Malheureusement pour elle, il était soldat et elle, une domestique. Alors autant l’oublier maintenant. Elle allait prendre la parole lorsqu’un groupe de palefreniers passa dernière elle, jacassant comme des pies. Elle leur jeta un regard agacé puis se retourna face au cheval et à l’homme. La jeune servante pris donc la parole après avoir pensée à ce qu’elle pourrait bien dire.

- Je n’étais pas très inquiète, sire. Je voulais juste m’assurer que je ne vous avais pas dérangé. Habituellement, je ne rencontre pas de soldats dans les parages parce qu’ils sont trop occupé à s’entraîner. Mais j’aime bien savoir que quelques soldats s’occupent de leurs destriers. Ils sont tellement magnifique, un simple palefrenier ne pourrait s’occuper d’eux convenablement. Dit-elle, après avoir regarder s’il n’y en avait pas un dans les parages. Vous savez, j’aime beaucoup les chevaux, j’admire leur force extraordinaire et leur gentillesse. Ils sont tellement doux et affectueux.

Elle caressa le bout du nez du cheval et replaça une mèche rebelle de sa crinière qui lui tombait devant l’œil droit puis repris la parole.

- Au fait, je me nomme Saphora et je suis la servante du Roi Aurora. Je présume que vous êtes un soldat de l’armée de sa Majesté. N’ai-je pas raison, sire ? Demanda-t-elle.

Ken continuait toujours à brosser son cheval, mais il gardait un œil furtif sur la jeune femme afin d’observer son attitude en sa présence. Habituellement, il était rare de sa part d’entreprendre une discussion avec qui que ce soit, même à ses compagnons d’armes, à l’exception des discussions militaires.

Le jeune soldat savait que l’inconnue était en train de l’observer. Malgré tout, l’écurie n’était pas un endroit parfait pour discuter avec toute tranquillité étant donné les allés et retours des palefreniers. Cependant, ce n’était pas tout les jours qu’il pouvait parler avec une personne du même royaume par hasard.

La jeune femme avait commencé à prendre la parole, rassurant le soldat qu’elle n’était pas inquiète. Évidemment, Ken n’était pas habituer de recevoir des marques de respect. C’était pour cette raison qu’il était surpris quand la jeune femme s’était incliner en plus de s’excuser.

Il continua de l’écouter, elle parlait de la rassurance que ce soit les soldats qui s’occupe de leur propre monture que de laisser le travail aux palefreniers. Ken considérait se commentaire comme un compliment. Elle avait aussi mentionné son admiration envers ces chevaux.

Ken n’avait pas dit un mot après qu’elle ait fini de parler. Le silence y habitait entre ces deux personnages. Mais elle reprit la parole quelque secondes après. Ce qui confirmait à Ken qu’elle était en effet une servante du palais. Elle avait aussi mentionné son nom qui était Saphora. Elle lui avait ensuite posé une question. Elle voulait sûrement confirmer ses doutes qu’il soit un soldat, sinon elle n’aurait pas posé cette question.

- Vous êtes clairvoyante, jeune demoiselle. J’utilise mon existence pour servir les intérêts du royaume et celle de son roi. Je me nomme Ken.

Il prit quelque seconde avant de reprendre la parole étant donné qu’il hésita à poser sa question. Il aimerait continuer à discuté avec cette servante du roi, mais son inquiétude l’emporta. Il devait s’assurer d’abords si son roi avait besoin d’elle. Il s'adressa à la servante du roi avec un sourire furtif.

- Étant donné que vous êtes une servante de notre roi et que vous êtes ici, je présume que vous êtes en pause ou que vous êtes en congé. Ai-je raison?

» Une information [libre]
» Perte importante. [libre]
» Frénésies d'une pauvre fille [ Libre ]